Un mur se dresse, tu le franchis avec les muscles
Un grand espace, tu le parcours avec ton souffle
Un sentiment de grande puissance agace tes nerfs
Alors, ce qui arrive, c’est que tombent les nerfs
Et la fatigue, soudain, envahit tous les muscles
Et le cœur qui s’affole quand tu cherches ton souffle
Au loin, des chiens menacent, vite, vite un second souffle
La peur les accompagne, mais tu n’as plus de nerfs
Course après le courage, empoisonné les muscles
mardi 29 septembre 2009
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